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Étudiante en licence professionnelle communication et médiations numériques (Comen) à l’IUT de Dijon, Camille Barbier a signé un contrat de professionnalisation avec la SNCF : « Le responsable de la licence nous a donné une liste de sociétés. J’ai postulé dans pas mal d’entre elles avant d’être prise à la SNCF ». Aujourd’hui, elle s’occupe de la communication interne en son sein. Mais sa recherche d’entreprise n’a pas été simple : « Au moment où j’effectuais mes demandes, j’étais au Québec. C’était donc difficile, mais début juillet j’ai eu une réponse positive ».

Jonglant entre les cours et le tra-vail, Camille a un emploi du temps bien chargé. Ce qui est également le cas de Tiphanie Pélissier. Cette étudiante en master 2 gestion des connaissances est aussi en alternance, chez Areva.

Comme Camille, Tiphanie a eu du mal à trouver une entreprise. « En communication, c’est très difficile de trouver. Tout dépend de si l’on accepte d’être mobile ou non. J’ai trouvé mon alternance chez Areva via le site indeed.fr. J’avais fait cinq ou six candidatures spontanées et répondu à quelques offres. »

On vit au rythme de l’entreprise et, à la différence des stages, on est considéré comme un employé.
Tiphanie Pélissier, étudiante en gestion des connaissances

Si les deux étudiantes reconnais-sent la difficulté de trouver une entreprise, elles sont aussi d’accord pour avouer que l’apprentissage permet de mettre un pied dans le monde du travail. « Pour moi, cela devrait faciliter l’embauche à la fin des études. Il faut un bon niveau scolaire mais aussi de l’expérience », valorisée par l’alternance. Cela peut faire la différence », explique Camille Barbier. Le discours est identique du côté de Tiphanie : « On entre vraiment dans le monde professionnel. On vit au rythme de l’entreprise et, à la différence des stages, on est considéré comme un employé ».

WEB Plus d’infos sur le site du Service commun de formations continue et par alternance : http://sefca.u-bourgogne.fr/